Les jeunes les aiment parce qu’ils leur ressemblent, parlent de sujets qui les intéressent, sont drôles et produisent des vidéos au ton direct et décalé, qu’ils peuvent visionner n’importe quand sur le cell, la tablette ou l’ordinateur. Les jeunes les suivent parfois depuis plusieurs années, les ont vu évoluer et ont le sentiment de les connaitre, tissant avec certains YouTubers, une relation parasociale.
Ce reportage du 1er mars 2016 de l’émission Banc public à Télé Québec, auquel a participé la chercheure de l’UQAM Christine Thoër, donne accès à l’expérience de deux YouTubers québécois très populaires et explique les stratégies de monétisation derrières ces nouvelles pratiques de production/diffusion de contenus.
Authentiques… oui mais… la popularité de certains YouTubers n’est pas sans attirer les annonceurs qui peuvent ainsi rejoindre les jeunes qui délaissent la TV au profit du visionnement connecté.